Gia Martinelli réplique à Hoshi : vérité, procédures et tensions autour d’un appartement parisien

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Gia Martinelli réplique à Hoshi : vérité, procédures et tensions autour d’un appartement parisien

Contexte et accusations

Gia Martinelli, ex-compagne et ex-manageuse de la chanteuse Hoshi, est sortie du commissariat à Paris et a confié sa version des faits au Parisien, indiquant vouloir «rétablir sa vérité» et dénonçant ce qu’elle décrit comme une «campagne de dénigrement» menée par l’artiste sur les réseaux sociaux.

Elle a été convoquée pour des accusations de faux et usage de faux et a appris par la presse que Hoshi l’accusait aussi d’agression sexuelle et d’abus de faiblesse.

Litige immobilier et procédures en cours

Elle affirme continuer à assumer les mensualités de l’immense appartement parisien qu’elle partageait avec Hoshi, tout en menant une action en justice pour le partage du bien. Elle déplore qu’Hoshi refuse une négociation amiable.

Réactions publiques et accusations croisées

Hoshi a publié sur Instagram un message évoquant des moments où «son consentement n’existait plus», en affirmant que Gia «l’a imposé ces moments alors qu’elle savait que je n’étais pas d’accord».

Gia Martinelli réplique que ces accusations semblent viser à se venger ou à faire le buzz et rappelle avoir été hospitalisée après leur séparation. Elle affirme avoir été présentée à la compagne actuelle d’Hoshi et décrit l’évolution de leur relation: «durant quelques semaines, toutes les trois avons partagé une histoire commune, puis ma nouvelle compagne et moi sommes tombées amoureuses ensuite».

Échanges privés et perceptions décrites dans les médias

Le Parisien affirme avoir consulté des échanges entre Hoshi et Gia, et les décrit comme ne laissant «aucun doute» sur certaines dynamiques. Le quotidien évoque des mentions d’«irascibilité et d’autorité» dans le comportement d’Hoshi et signale des échanges téléphoniques complets publiés.

Volets juridiques et conséquences professionnelles

Gia soutient qu’Hoshi a rompu un contrat de management de cinq ans signé en 2022, ce qui aurait empêché la poursuite de revenus. Elle affirme que les bénéfices de la tournée organisée par elle seraient retenus par Hoshi et exprime sa crainte de ne plus pouvoir travailler, citant ses collaborations passées avec Patrick Bruel et Benjamin Biolay. Elle dénonce ce qu’elle appelle une «entreprise de destruction» qui, selon elle, l’aurait privée de ses amis, de son entourage professionnel et même de leur chien.

Derniers mots et réplique de l’avocat

Malgré les tensions, Gia conclut sur une note de recherche de paix et affirme qu’elle se battra pour son honneur et la vérité si nécessaire.

Du côté de Hoshi, Me Antoine Vey, l’avocat, affirme que des éléments médicaux et des témoignages corroborent «un abus de faiblesse» et que la justice analysera les plaintes.